29 décembre 2019

Réponse - De biens étranges reflets

Alors vous avez trouvé ?

Il s'agit de la façade tout en verre est celle du nouvel hôtel Courtyard (traduction anglaise du mot cour !) du groupe Marriott en voie d’achèvement, aux numéros 3-7 de la rue Renan, à l’entrée d’Issy-les-Moulineaux. À cet emplacement se trouvaient les bureaux de l’entreprise Javel La Croix



Les trois immeubles de la rue Renan, n°1-7bis, (ci-contre) sont situés dans et à l’extérieur de la zone longtemps interdite à la construction. Le plus ancien en pierre est à droite (n° 7 bis ) ; son architecte Prigneau l’a fini en 1891. Le premier étage dessiné en pierre avec des lignes de refend possède quelques balcons individuels tandis que le dernier étage a gardé le balcon filant des immeubles typiques du Second Empire haussmannien.
A gauche au n°1, s'élève un immeuble de style Art déco de 1935 (architecte M. Potier).
Et au centre de la photographie, la façade vitrée de 2019 du Courtyard (n°3-7), qu'il vous fallait trouver ! 


La façade de l’hôtel (ci-dessus) est composée de rectangles alignés et superposés sur plusieurs étages. Seuls quelques-uns sont en relief pour casser l’uniformité. Le parti pris chromatique est celui du noir pour les vitres teintées et l’armature métallique.
Les reflets sont ceux des numéros pairs de la rue, à savoir :
- un immeuble des années Trente sur la gauche, construit après la suppression de la zone non aedificandi après la Première Guerre mondiale. 
-  la rue de la Villa Marguerite (nom d’un propriétaire local), au centre ;
-  un immeuble plus ancien juste à l’extérieur  (à droite de la photographie).

Trois styles, trois époques sur quelques dizaines de mètres à l’entrée de la ville !
Photos et texte P. Maestracci
Prochain nez en l'air 1er janvier, 18 h

25 décembre 2019

Jeu - De biens étranges reflets


Joyeux Noël !!

Une petite promenade… pour digérer ?



Quels sont donc ces étranges reflets ? Gardez l'œil ouvert… Vous allez trouver.

© P. Maestracci
Réponse le 29 décembre, 18h.

20 décembre 2019

Le commissaire Maigret face à un témoin isséen !

Un peu de lecture pendant ces vacances de Noël 
et un ou deux nez en l'air à venir… 


Dans son bureau mythique du 36 quai des Orfèvres, le célèbre commissaire Jules Maigret rencontre Armand Lecoq d’Arneville. Il se présente suite à la diffusion dans la presse d’un portrait d’un homme qui s’est suicidé à Brême en Allemagne ; il affirme qu’il s’agit de son frère. Le témoin, interrogé sur sa profession, répond : « Pour le moment, je suis garçon de bureau dans une usine d’Issy-les-Moulineaux… Nous habitons Grenelle, ma femme et moi… ». 

Cet épisode se trouve dans le roman policier de Georges Simenon, Le pendu de Saint-Pholien, (à gauche) écrit en 1933 et publié en 1956 (Bibliothèque Simenon, Librairie Arthème Fayard).

Il n’est guère surprenant que Simenon ait pensé à la commune pour le métier du témoin tant le choix était large ! Dans les années Trente, Issy-les-Moulineaux est une ville essentiellement consacrée à l’industrie. La première de toutes date de 1820, c’est l’entreprise de munitions Gévelot aux Moulineaux. Le développement se fait ensuite autour du champ de manœuvre le long de la Seine et de la capitale au XIXe et au XXe siècles. Il y eut la Manufacture de Tabacs, la construction aéronautique (Caudron, Frères Voisin etc.), une centrale thermique fournissant l’électricité d’une partie de Paris, l’imprimerie du Petit Moniteur, l’usine Ripolin pour les vernis et peintures etc. Toutes ces usines ont disparu progressivement après-guerre ; il n’en reste que quelques témoignages comme la Manufacture de Tabacs transformée en logements. Tous ces quartiers industriels polluants ont été métamorphosés depuis dont certains en éco-quartiers le long de la Seine.

Quant au quartier de Grenelle où réside le témoin, il s’agit d’un ancien territoire isséen annexé en 1860 lors de l’agrandissement de Paris sous le Second Empire. C’est l’actuel quinzième arrondissement.

L'imposante  silhouette du Palais de Justice où se trouvaient les locaux de la Police, au n°36, se distingue avec sa haute tour, à l’aplomb d’une arche du Pont-Neuf.  Une grande partie des institutions judiciaires et policières du Palais de Justice a été déplacée depuis peu dans le 17e arrondissement.

Les locaux de la police judiciaire, 36 Quai des Orfèvres, 1935.
P. Maestracci

17 décembre 2019

Maurice Berteaux - Conférence jeudi 16 janvier 2020

Notez d'ores et déjà dans vos agendas la conférence-dédicace 
de Fabrice Moullé-Berteaux, le jeudi 16 janvier 2020.




Venez nombreux. Après la conférence, vous pourrez acheter et faire dédicacer l'ouvrage de Fabrice Moullé-Berteaux  :
"Maurice Berteaux, un financier en robe de Chambre" (éditions Temporis).

16 décembre 2019

Abstract Motions à l'Espace Manufacture - Photos d'Issy

Alors vous avez trouvé ce que René Barrière a pris en photos au cours de ses pérégrinations isséennes. Ces trois lieux d'Issy-les-Moulineaux sont :


Photo 1 : l'immeuble de la BNP Paribas
© René Barrière

Photo 2 : la Médiathèque du Centre Ville
© René Barrière

Photo 3 : la rue Jean-Jacques Rousseau
© René Barrière


14 décembre 2019

Abstract Motions - visite privée à l'Espace Manufacture d'Issy


Espace Manufacture, exposition Abstract Motions. © PCB
Une bonne quinzaine d'Historimiens étaient présents à cette visite privée, à l'Espace Manufacture, commentée par l'artiste-photographe lui-même, René Barrière.

Aux murs, 25 photos, prises en mouvement… à la manière du peintre Georges Mathieu ou de la plasticienne-chorégraphe Carolyn Carlson. Des teintes magnifiques, une abstraction totale.

Pour bien vivre cette exposition, il faut se laisser aller, faire de sa vie un rêve, "trouver un sens à l'image". Et les visiteurs ont joué le jeu, comme vous allez le découvrir !

Regardez cette photo

© René Barrière
Que vous évoque-t-elle ? Que voyez-vous ? Voici quelques unes des réponses données au cours de la visite :
un paon, un papillon, un poisson dans les abysses, le cosmos, l'éruption d'un volcan, un désert avec des étoiles filantes, une averse, un œuf voilé, un rapace, un bonnet à l'envers, un col autour du cou.
A votre tour, n'hésitez pas à nous laisser vos commentaires.

Quelques photos ont été prises à Issy-les-Moulineaux (ci-dessus et ci-dessous). Reconnaissez-vous l'endroit exact ? Même chose que pour la photo précédente, donnez-nous votre avis dans le commentaire. Nous publierons les réponses d'ici quelques jours.


Issy-les-Moulineaux, photo 1. © René Barrière
Issy-les-Moulineaux, photo 2. © René Barrière.
Issy-les-Moulineaux, photo 3. © René Barrière

Un grand merci à René de nous avoir fait découvrir une toute petite partie de son univers… Les photos sont à retrouver sur son site https://abstractmotions.blogspot.com  ; elles sont en vente aussi.
René, quant à lui, vous remercie d'être venus si nombreux et de vous être montrés si intéressés.
L'exposition est visible jusqu'au 17 janvier 2020.   PCB

11 décembre 2019

Aéromodélisme 1945… la Coupe d'Hiver à Issy-les-Moulineaux

Alors que Noël approche, que certains font les magasins à la recherche de modèles réduits de train, de bateau ou d'avion à offrir… savez-vous qu'Issy-les-Moulineaux fut dès 1945 et pour quelques années le grand rendez-vous des aéromodélistes. Un sport, un loisir… une passion qui existait déjà avant guerre.

Le Magazine Modèle Réduit d'Avion (MRA)


MRA du mois d'août 1949.
Un certain Maurice Bayet (1903-1985), passionné de modélisme, participe dès les années 1930 à de nombreux concours d'aéro-modélisme. D'ailleurs, il remporte en 1935 le premier prix du concours de la Ligue Aéronautique de France. C'est alors qu'il se rend compte qu'il n'existe pas de revue spécialisée en France. Dès l'année suivante, il crée la première revue d'aéromodélisme en France : le MRA, dont le premier numéro paraît en octobre 1936. Il restera aux commandes du magazine jusqu'en janvier 1976.

La Coupe d'Hiver
Maurice Bayet décide également d'organiser un grand concours annuel, sous le label MRA : ce sera la Coupe d'Hiver, créée en 1939… mais lancée le 25 février 1945.
On peut lire dans le journal : "Le concours eut lieu dans une ambiance très sympathique et très "Aviation".… Si la Coupe d'Hiver a pu avoir lieu, c'est grâce au ministère de l'Air qui a bien voulu nous accorder le terrain d'Issy-les-Moulineaux, allant même jusqu'à donner des consignes aux pilotes pour ne pas utiliser le champ pendant la Coupe". Et oui, tous les ans, la Coupe d'Hiver se tiendra à Issy, jusque dans les années 1950. Aujourd'hui, elle a lieu en province.

Les participants de la Coupe d'Hiver, 1946. 
Mais il existe aussi d'autres rencontres : 
- la coupe des maquettes (caoutchouc)
- la coupe des maquettes volantes (motorisées)
- la coupe des planeurs
Les concours comprennent alors plusieurs épreuves : 3 vols de deux minutes ; 5 vols de trois minutes…toujours avec un virage, et à une altitude moyenne de 80 mètres.

Et il y a même des coupes inter-clubs, comme, celle de  1946, à Issy-les-Moulineaux, dans laquelle 121 appareils sont engagés (ci-contre).

Les modèles réduits sont une petite taille : 90 cm à 3 m maximum pour les plus grands planeurs car ils doivent être transportables en pièces détachées, dans le métro ou en moto. Elles sont alors bien rangées dans des boites en bois, surnommées par les aéromodélistes "cercueils" !

La tribu des "pieds-noirs" d'Issy.
Dans un numéro daté de 1949, on apprend que les membres de "la Tribu des Pieds Noirs " (ci-dessous) viennent sur le terrain d'Issy-les-Moulineaux chaque fin de semaine faire voler leurs modèles. Mais pourquoi se sont-ils donné ce drôle de nom ? Une centrale thermique, au charbon, est construite le long du terrain d'aviation. Et elle envoie beaucoup de fumée. A la fin de la journée, le public comme les concurrents ont les chaussures noires de suie… d'où leur surnom de "pieds noirs" !

La "tribu des pieds noirs", 1949.

L'aéromodélisme à Issy s'est terminé dans les années 1950… mais la Coupe d'Hiver continue et les anciens ont créé en 1985 l'Association des Amateurs d'Aéromodèles Anciens (les 4A). Elle regroupe les fans, toujours aussi motivés, qui construisent et font voler des modèles conçus avant 1953… qualifiés d'antiques ou de vintage. 

Un grand, grand merci à l'aéromodéliste André Meritte (à gauche sur la photo ci-contre, classé 10e de la Coupe d'Hiver 1953) qui nous a fourni témoignages et documents sur cette Coupe d'Hiver qui s'est tenue plusieurs années à Issy-les-Moulineaux. PCB

9 décembre 2019

Abstract Motions - exposition photos à l'Espace Manufacture d'Issy


© René Barrière

"Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité", 
écrivait Antoine de Saint-Exupéy. 

Alors, venez nombreux à l'exposition Abstract motions de René Barrière, à l'Espace Manufacture, du 9 décembre 2019 au 17 janvier 2020. 28, Esplanade de la Manufacture, Issy-les-Moulineaux, découvrir ces 24 photos abstraites, colorées, dont certaines ont été prises à Issy. A vous de deviner lesquelles.

Laissez-vous emporter par ces images, lâchez prise… et vivez vos rêves !
PCB


6 décembre 2019

Talleyrand à Issy, 1789 - conférence

Lundi 2 décembre 2019, nouvelle conférence Historim à la Résidence du Parc… et nouveau succès !  Vous étiez une fois encore bien présents pour écouter notre conférencière historimienne Pascale, toujours aussi passionnante. "Je veux que pendant des siècles on continue à discuter sur ce que j'ai été, ce que j'ai pensé, ce que j'ai voulu", écrivait Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord en 1812. Ce qui fut fait ce soir-là.

 Talleyrand ©XDR

Talleyrand à Issy
Mais que faisait donc Talleyrand à Issy ? Pascale nous dit tout.
Le petit Charles-Maurice (1754-1838) naît avec un pied-bot qui le fera boiter toute sa vie. Ses parents lui refusent, à cause de cette malformation, le droit d'aînesse et, selon la tradition, le voilà destiné à la carrière ecclésiastique. Ce que le jeune homme n'acceptera jamais ! Après une thèse de théologie à la Sorbonne, des études de prêtrise à Reims, on le retrouve le 4 janvier 1789 à Issy où il est nommé évêque d'Autun, une cérémonie qui se déroule dans la chapelle de la Solitude. Ce fut un passage très court dans notre commune pour cet homme à la personnalité très difficile à cerner.

"Devin, complexe, successif"
Tel le voyait la nièce de Talleyrand, Dorothée de Périgord, Tel va nous le décrire Pascale.
Devin… Charles-Maurice anticipe les régimes politiques à venir ; la puissance d'un pays tel que les États-Unis ; la défaite de Napoléon…
Complexe… il travaille pour des puissances étrangères, mais reste fidèle à la France ; il est à la fois proche de Danton et de Mirabeau ; il est évêque mais se marie…
Successif… il prête serment 13 fois ; il assiste à 4 sacres, le dernier étant celui de Charles X …

Vie quotidienne
Ce "Diable boiteux", comme on le surnomma, est grand, pour son époque : 1,76 m. Il a de beaux yeux bleus, est élégant et dort très peu : trois heures par nuit ; il mange peu aussi mais adore le fromage de Brie. Très cultivé, il a le sens des affaires, est un excellent diplomate, aime la politique… et les femmes : on dit qu'il pourrait être le père du peintre Eugène Delacroix ; il défend même l'instruction des filles !

Grâce à Pascale, nous avons découvert ce personnage haut en couleurs que beaucoup d'entre nous connaissaient mal. Un grand merci à notre conférencière sans oublier la directrice de la Résidence qui nous accueille si bien. PCB




3 décembre 2019

Louis Albert Bacler d'Albe, peintre, cartographe et militaire, à Issy

Louis Albert Bacler d'Albe (1761-1824) ? Souvenez-vous… lors de la Journée du patrimoine consacrée à Adèle Foucher et Victor Hugo, le 22 septembre 2019, il a été plusieurs fois évoqué. C'est sa lithographie Bal champêtre à Issy, 1822 (ci-dessous) qui a permis de situer la maison louée par les Foucher à Issy, en cet été 1819… Une plaque apposée en bas de la maison rappelle cet événement.

Bal à Issy, 1822. Louis-Albert Bacler d'Albe. Coll. Château de Sceaux

Mais qui est donc cet artiste, cartographe, proche militaire de Napoléon 1er ? Son arrière-arrière-arrière-petit fils, le général Jean-Claude Ichac, Isséen, lui a consacré un article pour le Souvenir français dont voici quelques extraits.

© XDR
" Le 28 octobre 1805, le préposé à la mairie d'Issy (qui n'était pas encore « Les Moulineaux »!) enregistrait la naissance du quatrième enfant de la famille Bacler Dalbe (devenue d'Albe), Louis Marc. Mais ce n'était pas son père qui venait le déclarer car, chef du service cartographique de l'empereur Napoléon 1er, il l'avait suivi quelques jours auparavant en Alsace où se préparait l'offensive contre les Autrichiens qui, par Ulm, allait aboutir au « Soleil d'Austerlitz » le 2 décembre de la même année.

C'était au siège de Toulon, huit ans plus tôt, que Bonaparte avait croisé une première fois le capitaine Louis Albert Bacler Dalbe (ci-contre), artilleur comme lui, chef de la batterie « des Invincibles », et artiste-dessinateur dans le civil avant la Révolution. Promu général et commandant de l'artillerie de l'armée d'Italie, Bonaparte le fera affecter à son état-major et, quand il prendra le commandement de cette même armée, il le chargera de l'élaboration des cartes nécessaires à son action. Et Dalbe le suivra, sillonnant l'Europe, de l'Italie, reprise aux Autrichiens au cours de deux campagnes, au camp de Boulogne, pour préparer une éventuelle expédition en Angleterre, de Saxe en Prusse et en Pologne, de la guerre d'Espagne à la campagne de Russie.

Bataille du Pont d'Arcole, Louis Albert Bacler d'Albe,
tableau présenté en 1804. © XDR

Et partout où l'empereur installera sa tente de commandement, Dalbe sera là, dans une tente annexe, avec son lit de camp et ses cartes, et les épingles de couleurs qui lui permettront d'y situer les forces en présence. Mais il n'oubliera pas que s'il est officier, et il le montrera valeureusement à Arcole (ci-dessus), il est aussi dessinateur : ses tableaux des batailles de Lodi, de Rivoli ou d'Austerlitz font partie des collections du château de Versailles et ses lithographies du passage des Alpes ou de l'Espagne en guerre sont autant de témoignages de l'actualité militaire de son temps.

Chevalier de la Légion d'Honneur depuis 1806, il sera promu officier dans l'ordre le 10 avril 1812 et nommé général de brigade le 24 octobre 1813. Le 2 mars 1814 il quittera son service au Cabinet topographique de l'empereur et prendra la direction du Dépôt de la Guerre. Il aura passé plus de dix ans dans l'entourage immédiat de Napoléon qui, selon un témoin, s'écriait quand on le réveillait à l'arrivée d'une estafette porteuse d'un pli important : « Qu'on aille chercher d'Albe ! Que tout le monde s'éveille ! »

Acte de naissance à Issy de Louis-Marc, quatrième enfant de Louis-Albert.

Général Ichac.
© A. Bétry
Le couple Bacler d'Albe eut quatre enfants. L'aîné Joseph-Albert fut officier comme son père ; leur deuxième fils, Maurice-Louis, mourut en 1810 des suites d'une chute de cheval, à 18 ans ; Leur seule fille, Alexandrine, épousa un ami de la famille, Marc-Antoine de Barbotan-Maurepas. Enfin le dernier enfant, Louis-Marc, né à Issy en 1805 (ci-dessus), dessinateur et lithographe comme son père, fût le seul à avoir laissé une postérité. Il eut deux enfants, un garçon et, en 1837, une fille, Blanche. C'était mon arrière-grand-mère."
Général de brigade aérienne (2s) Jean-Claude Ichac (ci-contre)

Un grand merci au Souvenir français de nous avoir autorisé à publier un extrait de ce texte. PCB

P.S. Si vous savez où habitait la famille Bacler d'Albe à Issy, laissez un commentaire…