Comment ne pas évoquer notre ville jumelle Dapaong, au Togo, à l'heure où le Musée français de la carte à jouer se met à la marionnette. (Pour tout renseignement : http://www.historim.fr/2013/12/issy-les-moulineaux-lheure-des.html). Et oui, cette cité togolaise, jumelée avec Issy-les-Moulineaux depuis 1989, est le berceau du plus grand marionnettiste du pays, de renommée internationale : Danaye Kanianfei (ci-dessous), créateur de la compagnie le Théâtre des Marionnettes du Togo.
Les marionnettes sont avant tout des fétiches pour lui, représentant ses ancêtres moba. Il le dit lui-même : "« Sur scène, je suis la marionnette. Une fois que la marionnette prend vie, elle est en moi. Elle prend corps avec moi. Elle est moi. » C'est en 1977 que la troupe effectue sa première tournée mondiale. Depuis, il est sur les routes… avec ses personnages faits de calebasses, de bois, de papier, de tissus et de matériaux en tous genres.
La cité, située à 700 kilomètres de Lomé, la capitale, se trouve en plein cœur du pays Moba, dans la région des savanes. Le nom de Dapaong signifie marché, et c'est bien ce qu'est la ville à un carrefour commercial important de l'Afrique de l'Ouest. Les principales ressources de la région sont la culture du coton, du mil et du maïs, de la tomate. La population est estimée, en 2006, à 34000 habitants, dont la moitié de moins de 20 ans.
Elle est connue pour son patrimoine historique qui attire toujours plus de touristes : des peintures rupestres préhistoriques, notamment dans le site de Namoudjoga (à droite).
Notre commune soutient sa ville jumelle togolaise dans des programmes d'aide à la population : accès à l'eau potable et travaux d'assainissement ; reboisement ; initiation dans les écoles à l'outil informatique, etc. Des projets reconnus à leur juste valeur (photo ci-dessous). PCB
30 décembre 2013
Dapaong (Togo), au cœur de la savane
Libellés :
Villes jumelées
Pays/territoire :
Dapaong, Togo
27 décembre 2013
Les mariés de la Belle Époque
Marie-Joseph et Jeanne M., les mariés de l'an 1907
Un samedi matin, le
10 avril 1907, Marie Joseph Georges M*, « employé de chemin de fer », épouse Jeanne Andrée Désirée L* « sans profession ».
La famille du marié
La mère du
marié, Marie Marguerite, est l’une des rares survivantes de l’incendie du Bazar
de la Charité à Paris, le 4 mai 1897. Elle tenait le stand 10, non loin de Sophie de Bavière,
princesse d’Orléans ; cette sœur de Sissi périt dans l’infernal brasier.
Madame M*, devenue veuve, travaille comme employée et héberge son fils à son
domicile, 16 rue de la Plaine à Boulogne [-Billancourt].
Marie-Joseph
M* est né en « Alsace-Lorraine », territoire de l’Empire allemand depuis
1871, ce qui explique que son acte de naissance ait dû être traduit en
français. Il travaille au Chemin de fer. Rappelons à cette occasion que la
première ligne électrifiée en France est la
Ligne
Paris-Invalides/ gare des Moulineaux depuis 1900 !
La famille de la mariée
Jeanne
L*, née vingt ans ans auparavant dans le Cher, est « sans profession » ;
elle habite chez ses parents 4 rue Jeanne d’Arc. Son père Hippolyte a le même
métier que son gendre et sa mère Marie-Joséphine est couturière.
Le mariage
Il est célébré à la mairie d’Issy-les-Moulineaux par Jean Freyre, adjoint
au maire.
Les
témoins du marié sont : l’un, chef de bureau à la mairie de Nevers ; l’autre, patron pilote à Toulon. Les témoins de la mariée sont deux employés habitant le Cher et Paris. Le registre d’état-civil, conservé aux archives municipales, met en évidence la large signature de l’époux
contrastant avec la modeste signature de sa femme.
Après le mariage civil se déroule le mariage religieux à
l’église Saint-Étienne.
Leur descendante, Mme Marie-Thérèse M*, que je remercie
chaleureusement pour les documents et l’histoire de sa famille, a identifié une
aquarelle de Jongkind datée de 1861 (voir sur le site http://www.historim.fr/2013/05/jongkind-peint-issy-les-moulineaux.html). Elle représente l’église où ses
grands-parents se sont mariés avant de se déplacer fréquemment selon les
contraintes professionnelles d’un « employé de chemin de fer ».
Une bien belle histoire à raconter dans notre rubrique Témoignages. P. Maestracci
24 décembre 2013
Joyeux Noël à tous
Toute l'équipe d'Historim se joint à ce charmant Père Noël pour vous souhaiter tout plein de bonnes choses en cette période de l'année.
Entre les deux fêtes, le site continuera à vous faire découvrir : un témoignage émouvant, une ville jumelle dans l'actualité et l'histoire d'une association qui va droit au but.
Restez branchés !
22 décembre 2013
Issy-les-Moulineaux à l'heure des marionnettes !
Quelle riche idée a eu le Musée français de la carte à jouer de lancer en cette période de Noël une exposition, accompagnée d'un certain nombre d'ateliers, sur le thème magique des marionnettes.
Marionnette : un nom qui apparaît au Moyen Âge pour désigner la Vierge Marie et signifier petite Marie. Puis, à partir du XVIe siècle, toute figurine en bois est ainsi nommée. On trouve des marionnettes dans tous les pays et à toutes les époques. Petit historique.
Égypte antique : les prêtres manient des statues avec des ficelles, lors de cérémonies rituelles.
Grèce antique : la marionnette a perdu son caractère sacré et sert à divertir les convives lors des banquets.
Rome : la marionnette a quitté le monde des adultes pour gagner les nurseries et amuser les enfants.
France : Jusqu'à la Renaissance, l'usage de la marionnette est religieux. Ensuite, il devient profane. Avec l'arrivée en France de l'Italien Giovanni Briocci, le personnage de Polichinelle, inspiré de la commedia dell'arte, fait son apparition, donnant vie deux cents ans plus tard à Guignol, dont le berceau est la ville de Lyon.
Bien vite, chaque pays s'approprie cet art et forge des personnages traditionnels. Ainsi, au Canada on rencontre Monsieur Tranquille, en Allemagne Pittiplatsch, aux États-Unis Lamb Shop, en Russie Petroushka, en Irlande Bosco, en Italie Pinnochio…
Une centaine de pièces sont exposées au Musée, des films sont projetés emportant le spectateur au Mali, au Vietnam (avec les marionnettes d'eau) ou en Chine, des ateliers-goûters sont organisés pour les enfants pendant les vacances. Jusqu'au 25 mai. PCB
Pour tous renseignements : http://www.issy.com/exposition-marionnettes
Marionnette : un nom qui apparaît au Moyen Âge pour désigner la Vierge Marie et signifier petite Marie. Puis, à partir du XVIe siècle, toute figurine en bois est ainsi nommée. On trouve des marionnettes dans tous les pays et à toutes les époques. Petit historique.
Égypte antique : les prêtres manient des statues avec des ficelles, lors de cérémonies rituelles.
Grèce antique : la marionnette a perdu son caractère sacré et sert à divertir les convives lors des banquets.
Rome : la marionnette a quitté le monde des adultes pour gagner les nurseries et amuser les enfants.
Polichinelle (vers 1650). |
Guignol. |
Bien vite, chaque pays s'approprie cet art et forge des personnages traditionnels. Ainsi, au Canada on rencontre Monsieur Tranquille, en Allemagne Pittiplatsch, aux États-Unis Lamb Shop, en Russie Petroushka, en Irlande Bosco, en Italie Pinnochio…
Une centaine de pièces sont exposées au Musée, des films sont projetés emportant le spectateur au Mali, au Vietnam (avec les marionnettes d'eau) ou en Chine, des ateliers-goûters sont organisés pour les enfants pendant les vacances. Jusqu'au 25 mai. PCB
Pour tous renseignements : http://www.issy.com/exposition-marionnettes
18 décembre 2013
Issy-les-Moulineaux en 60 dates (suite)
UN LIVRE ORIGINAL SUR NOTRE COMMUNE
Quiz n°2 du parfait Isséen
- Que se passe-t-il le 6 décembre 558 à Issy ?
Le roi Childebert se marie dans l'église Saint-Etienne
Le roi Childebert donne Issy aux moines de Saint-Germain des Prés
Le roi Childebert construit le Grand Séminaire
- Comment s'appelle le premier opéra français créé en avril 1659, dans notre commune ?
la Pastorale d'Issy
les Bergers et le Satyre
les trois Bergères des Moulineaux
- Quel grand artiste s'installe dans les Hauts d'Issy en avril 1909 ?
Auguste Rodin
Paul Cézanne
Henri Matisse
- Quelle grande rencontre sportive se déroule du 21 au 29 juin 1924 dans la ville.
La finale de la coupe de France de football
Les demi-finales de la coupe du monde de handball féminin
Les épreuves de tir des Jeux Olympiques de Paris
Les réponses se trouvent dans
Issy-les-Moulineaux. Histoire d'une ville en 60 dates (Atlante éditions)
pour 4,70 euros seulement.
pour 4,70 euros seulement.
15 décembre 2013
Conférence : Sur les pas de Cézanne à Issy
Et oui, pour cette dernière conférence de l'année 2013, vous étiez toujours aussi nombreux et toujours aussi passionnés. Et, comme d'habitude, notre historimienne Pascale nous a fait découvrir un Paul Cézanne (1839-1906) bien différent de celui que l'on connaît par ses toiles qui fleurent bon la Provence, où il est né.
Son caractère emporté, ses toiles "scandaleuses" pour certains, lui valent les commentaires acerbes du public et des critiques d'art. Il n'a guère de succès alors… et vit dans une grande misère. Cela a bien changé. Pascale nous rappelle que la famille royale du Qatar a acheté l'an dernier l'un des cinq exemplaires des Joueurs de cartes (1895) pour la somme incroyable de 250 millions de dollars, soit près de 190 millions d'euros - un record dans le marché de l'art !
On ne le sait pas toujours, mais il passera plus de la moitié de sa vie dans la région parisienne - repartant précipitamment à Aix lorsqu'il était en rupture d'huile d'olive !
Ce sont ses années franciliennes qui nous intéressent, celles d'Auvers-sur-Oise, en compagnie de ses amis Pissaro, Renoir, Monet, Sisley… et Guillaumin qu'il a rencontré à l'Académie Suisse. Tous deux peignant sur le motif, ils s'enfoncent dans le parc d'Issy-les-Moulineaux, sur les quais le long de la Seine, au cours des années 1876 et 1877. Si l'on a conservé un témoignage de Guillaumin sur son passage à Issy (voir Histoire-Personnage : http://www.historim.fr/2013/07/armand-guillaumin-peint-issy-les.html), aucun toile sur notre commune signée Cézanne ! Dommage.
Mais, en revanche, Paul Cézanne nous a laissé 1000 toiles, dont 80 natures mortes (notamment des pommes), des Baigneuses et 80 exemplaires de la Sainte-Victoire, si chère à son cœur. PCB
Autoportrait (1875), un an avant qu'il ne vienne à Issy-les-Moulineaux. |
Son caractère emporté, ses toiles "scandaleuses" pour certains, lui valent les commentaires acerbes du public et des critiques d'art. Il n'a guère de succès alors… et vit dans une grande misère. Cela a bien changé. Pascale nous rappelle que la famille royale du Qatar a acheté l'an dernier l'un des cinq exemplaires des Joueurs de cartes (1895) pour la somme incroyable de 250 millions de dollars, soit près de 190 millions d'euros - un record dans le marché de l'art !
Nature morte (1890). Coll. Privée |
Ce sont ses années franciliennes qui nous intéressent, celles d'Auvers-sur-Oise, en compagnie de ses amis Pissaro, Renoir, Monet, Sisley… et Guillaumin qu'il a rencontré à l'Académie Suisse. Tous deux peignant sur le motif, ils s'enfoncent dans le parc d'Issy-les-Moulineaux, sur les quais le long de la Seine, au cours des années 1876 et 1877. Si l'on a conservé un témoignage de Guillaumin sur son passage à Issy (voir Histoire-Personnage : http://www.historim.fr/2013/07/armand-guillaumin-peint-issy-les.html), aucun toile sur notre commune signée Cézanne ! Dommage.
Mais, en revanche, Paul Cézanne nous a laissé 1000 toiles, dont 80 natures mortes (notamment des pommes), des Baigneuses et 80 exemplaires de la Sainte-Victoire, si chère à son cœur. PCB
La Sainte-Victoire vue de Bellevue (1882-85). |
12 décembre 2013
Jean Ors, un parachutier isséen
Jean Ors. Ph. MAE-Atlante |
Depuis 1907, le champ de manœuvres d'Issy-les-Moulineaux est le haut-lieu des essais d'avions en tous genres (voir rubrique Aviation).
C'est donc tout naturellement qu'à partir de 1910, plusieurs solutions sont proposées pour essayer de sauver les pilotes d'aéroplane en difficulté - ou en situation de détresse comme l'on dit aujourd'hui. La tour Eiffel, à Paris, sert à quelques essais humains infructueux, depuis son premier étage, à 57 mètres, de hauteur (à gauche).
Il faut attendre 1913, pour qu'un Isséen obtienne (toujours de cette tour), de meilleurs résultats avec un mannequin . Il s'agit du lieutenant-aviateur Jean Ors (en haut).Et le 12 février 1914, sur l'aérodrome de Juvisy, il décide de tester lui-même, en réel, son matériel : il effectue avec succès un saut en parachute à partir d'un monoplan Deperdussin, d'une altitude de 300 mètres (ci-dessous). Ors est installé sur un siège métallique placé entre les roues de l'avion piloté par Lemoine.
12 février 1914 : Jean Ors, avant le départ. Ph. MAE-Atlante. |
En 1922, un premier concours de parachutes est organisé par la société Nieuport-Astra dont les avions de chasse monoplaces équipent les formations de combat françaises. Une homologation officielle est accordée à cinq parachutes français : Ors, Robert, Froidure, Blanquier-Vinay et Tinsonnier. Et c'est ainsi que les services officiels de l'aéronautique imposent le port du parachute sur les aéronefs en cours d'homologation lors des vols d'essais.
Le mardi 13 novembre 1923, au-dessus du champ de manœuvres d'Issy-les-Moulineaux un nouveau modèle de parachute, dû à la fabrication de M. Ors, qui n'est pas novice en la matière, est testé par une femme : Denyse Collin, infirmière major durant la guerre et médaillée de la croix de guerre avec palme. Aux commandes d'un Morane-Saulnier, l'aviateur Fronval a joliment largué la jeune et sûrement jolie Denyse Collin depuis l'altitude 350 mètres. Le Petit Journal illustré relate l'événement (ci-dessous). Le parachute est un modèle de 12 à 14 litres d'encombrement et d'un poids de 3,5 kilogrammes. Un succès ! A.B.
13 novembre 1923 : Denyse Collin est la première femme à sauter. Ph.XDR |
9 décembre 2013
Conférence : Sur les pas de Paul Cézanne à Issy
Après Rodin et Dubuffet,
Pascale Maestracci
nous entraîne
Autoportrait. 1873-1875. Musée de l'Errmitage, St-Petersbourg |
sur les pas de Paul Cézanne
à Issy-les-Moulineaux
Loin des odeurs et des couleurs de la Provence, c'était dans les années 1870
Une surprise à savourer
le jeudi 12 décembre 18 h30
à la résidence du Parc,
20 rue de l'abbé Derry
dans les Hauts d'Issy
Entrée libre
On vous attend nombreux
6 décembre 2013
Notre-Dame des Pauvres restaure les vitraux de Léon Zack
Quelques jours avant l'inauguration des vitraux de la synagogue où Historim avait été convié (voir rubrique Actualité), l'église Notre-Dame des Pauvres, située boulevard Galliéni, juste en face (voir http://www.historim.fr/2011/02/notre-dame-des-pauvres-et-leon-zack.html), faisait une grande fête pour célébrer la rénovation de ses vitraux signés Léon Zack.
L’église Notre-Dame des Pauvres, œuvre de l’architecte Jean-Blaise Lombard est inaugurée en 1955. Le quartier est alors celui d’un habitat modeste et, surtout ,de nombreuses usines à l'origine d’une intense pollution de l’air. Un ancien conseiller municipal récemment disparu, Marcel Gentil (cité par M. Santini Député-Maire), affirmait : « nous avions les poumons noirs ».
L’église Notre-Dame des Pauvres est située entre le boulevard Gallieni et la rue Charlot ; son parvis donne sur le Rond-Point Schuman.
Vitraux du mur Est, le long de la rue Charlot. Alternance de bandes colorées. © P. Maestracci |
C’est une architecture moderne en béton comprenant’une vaste salle rectangulaire et une toiture inclinée du fond vers l’entrée. Les murs sont recouverts de pierres aux tons ocre et gris-bleu. Le plafond recouvert de lattes de bois assez bas à l’entrée s’élève fortement, faisant lever le regard vers le mur du fond et une grand croix en bois. La lumière provient des trois murs est, ouest et sud car une partie notable est constituée des vitraux de l’artiste Léon Zack.
La rénovation officielle des vitraux fut célébrée le 20 octobre 2013. Des travaux de restauration des vitraux et de la maçonnerie qui ont duré de février 2012 à février 2013 sous la direction d’Emmanuel Lombard, architecte reprenant la tradition paternelle. Durant cette période, les vitraux furent occultés et le froid se fit particulièrement intense dans l’église durant l’hiver. Ces vitraux sertis de plomb ont des motifs géométriques se détachant d’un quadrillage irrégulier. Les couleurs dominantes sont le bleu, le jaune et le mauve. Les vitraux ont été classés à l’Inventaire supplémentaire des Monuments historiques fin 2007.
Au bout de plusieurs décennies, la structure métallique des vitraux était dans un état inquiétant. Dès 2011, une rénovation fut décidée mais il fallut réunir les 600 000 euros nécessaires grâce aux dons, subventions etc. Notons que la commune d’Issy-les-Moulineaux y a contribué pour un sixième.
L’église Notre-Dame des Pauvres est située entre le boulevard Gallieni et la rue Charlot ; son parvis donne sur le Rond-Point Schuman.
P. Maestracci.
Quatre à cinq fois par an, des concerts de musique ancienne y sont donnés. Renseignez-vous : http://issy.paroisse.net/rubriques/gauche/Les-paroisses/notre-dame-des-pauvres/notre-dame-des-pauvres-pages/animation-musicale
3 décembre 2013
Réclames d'antan (années 1950)
Comme pour les réclames des années 1930 (voir articles dans rubrique les Quartiers), il est possible de savoir quelles activités commerciales ou libérales existaient à Issy-les-Moulineaux au début des Trente Glorieuses. De nos jours, on peut constater bon nombre de disparitions.
L’entreprise Foucault de déménagement (n°1) 19 rue Marceau n’existe plus : le numéro a disparu et l’emplacement correspond au jardin privatif à l’arrière d’un d’un immeuble rue Kléber.
La Croix-Rouge (n°3) au 133 est un centre hospitalier d’accueil de jour.
Le photographe (n°5) qui exerçait 37 rue Tariel a disparu comme celui (n°6) du 32 bis rue Gévelot (J-P. Timbaud) où se trouve désormais une place.
Quartier de l’Hôtel de Ville
L’entreprise Foucault de déménagement (n°1) 19 rue Marceau n’existe plus : le numéro a disparu et l’emplacement correspond au jardin privatif à l’arrière d’un d’un immeuble rue Kléber.
Il n’y a plus de cabinet dentaire (n°2) au 28 avenue de la République.
Avenue de Verdun
La Croix-Rouge (n°3) au 133 est un centre hospitalier d’accueil de jour.
La brasserie Grutli (n°4) au 141 est remplacée par les Serres Municipales.
Autres adresses
Le photographe (n°5) qui exerçait 37 rue Tariel a disparu comme celui (n°6) du 32 bis rue Gévelot (J-P. Timbaud) où se trouve désormais une place.
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