30 novembre 2012

Historim à l'heure arménienne : conférence, visite…

La communauté arménienne d'Issy-les-Moulineaux est l'une des plus importantes en France. Et Historim leur a déjà consacré plusieurs articles, notamment dans la rubrique Histoire-dates : 24 avril 1915, le génocide arménien ; 7 décembre 1988, le tremblement de terre ; dans la rubrique Actualités : le 5 juillet 2012, un hommage aux Justes arméniens, l'exposition sur le Livre arménien qui se tenait jusqu'au 30 novembre 2012 à la Bibliothèque Mazarine, à Paris ; ou encore dans la rubrique Patrimoine : l'Église apostolique arménienne qui fête Noël le 6 janvier.

Cette semaine trois rendez-vous

- sur le site, avec la découverte, le 2 décembre au soir, de notre ville-jumelle Etchmiadzine.

© A. Bétry
© A. Bétry
- jeudi 6 décembre, à 18 h 30, à la résidence du Parc, 20 rue de l'Abbé Derry, pour une conférence donnée par Robert  Fermanian (à gauche) qu'un bon nombre de vous connaisse, sur l'histoire de l'Arménie. Ouverte à tous, comme toujours. Nous vous attendons nombreux !

- samedi 8 décembre à 16 heures, uniquement pour les membres de notre association : la visite privée, organisée par le père Bilakian, de l'Église apostolique arménienne, 6 avenue Bourgain (ci-dessus).



28 novembre 2012

Pseudo - Réponse


NEZ EN L’AIR ; dans ce cas, Nez au Sol : 
l’influence de la Tour aux Figures ?




Cette peinture était encore visible il y a quelques jours sur une plaque de ciment au sol devant le 46 rue Hoche. Mais des travaux de réfection de la chaussée l'ont effacée. Heureusement nous avons la photo ! On en ignore l’année de création comme le nom du peintre. Les formes arrondies cernées de noir, les rayures et les aplats rouges et bleus sont un rappel de l’œuvre de Jean Dubuffet. Cela n’est pas une servile copie mais un pastiche non dénué de talent.
Jean Dubuffet (1901-1985), peintre et sculpteur, est une figure majeure de l’Art Brut. L’État lui commande la Tour aux Figures ; l’artiste agrée le site de l’Île Saint Germain quelques mois avant de mourir (voir rubrique Patrimoine). L’inauguration de la sculpture eut lieu en 1988. Texte et photographie : P. Maestracci

24 novembre 2012

La rue Branly à Issy : une cité des années 1930



La rue Branly (ci-dessus) relie l’avenue Victor Cresson à la rue Chénier dans le quartier de la Mairie. Longue d’une centaine de mètres, elle présente un certain dénivelé et forme un coude en son milieu pour allonger et adoucir quelque peu la pente. 


Porte monumentale en verre
et métal aux numéros 5 et 6. 
Les immeubles ont été construits vers 1928/30 à l’emplacement d’une entreprise de charpente et menuiserie, non loin du château des Conti. Ils furent érigés à l’instigation de l’assureur L’Abeille-La Paix pour y loger ses employés dans des appartements conçus pour une famille. Les bâtiments ont un style reconnaissable avec des façades en briques et des encadrements blancs. Le nombre d’étages est important . 

Il y a cinq immeubles de chaque côté de la rue, construits en décalé pour s’adapter au relief. Les deux qui sont au milieu et dans la courbe de la rue, ont une entrée un peu plus imposante que les autres qui ne sont pas ornées d’un linteau de spirales métalliques au-dessus des deux vantaux (à gauche). 


On peut voir les conduits 
pour l’incinération 
des ordures, la réfrigération 
et le chauffage. 

Il fallait respecter deux principes innovants à l’époque : le confort ménager et l’hygiénisme. Un monte-charge assurait la desserte des cuisines. Chaque immeuble disposait d’un système de réfrigération centralisé ; des tuyaux répartissaient le froid dans les armoires réfrigérées des cuisines, à partir de la centrale placée dans la cave, à côté d’une chaudière utilisée en hiver pour les radiateurs. Il y avait un incinérateur dans chaque immeuble alimenté par les vide-ordures. Ce système générait beaucoup de poussière issue de la combustion et salissait les appartements lorsque leurs fenêtres étaient malencontreusement ouvertes. Il fut assez vite abandonné pour cause de pollution de l’air. Impossible en effet de brûler les ordures de tous les immeubles le même jour, ce qui aurait permis de prendre ses précautions ! Chaque immeuble possédait une loge pour un concierge, un escalier de service, des chambres de bonnes ainsi que des WC à chaque étage pour le personnel.

A la fin des années 1970, l’assureur vendit séparément les appartements à des particuliers. Aujourd'hui, lorsque de nouveaux occupants enlèvent les anciens papiers peints, il leur arrive parfois de retrouver les graffiti des peintres sur les plâtres originels : dessins au crayon gras, voire le portrait de Maurice Chevalier !
L’ensemble des immeubles de la rue fut longtemps géré par un seul cabinet de gestion immobilière (Schwob) sis à Paris. Une situation originale permettait à chaque immeuble d’avoir sa propre gestion tout en respectant certaines règles communes à tous : aspect architectural et loge de concierge pour chaque bâtiment. De nos jours, la copropriété générale est en partie dissoute car si les numéros pairs de la rue gardent une partie de l’ancienne gestion en commun, les numéros impairs sont totalement indépendants. Quant à la chaussée, autrefois voie privée et à la charge des résidents, elle est devenue depuis plusieurs années publique et entretenue par la collectivité territoriale.

Vivre rue Branly, c’est vivre dans un village ou dans un quartier dont les habitants se connaissent et se saluent. À l’origine, bon nombre de résidents étaient des collègues de L’Abeille-La Paix, les femmes fréquentaient les mêmes commerces comme l’épicerie Au Nouveau Quartier (plaque de mosaïque sur la façade) 21 rue André Chénier, légèrement en contrebas de l’intersection des deux rues. De nos jours, il y a un certain renouvellement des résidents, de leurs habitudes et de leurs professions ce qui rend la convivialité un peu moins spontanée.

Merci à mon amie Hélène R. qui m’a fourni de précieuses indications sur une rue qui lui est chère.
Texte et photographies : P. Maestracci

21 novembre 2012

Pseudo- Jeu

Qu'est ce que c'est, à votre avis, cette représentation et où peut-on la voir à Issy ? Cherchez bien…

PH. P. Maestracci

17 novembre 2012

Louis - la mémoire des Hauts d'Issy-les-Moulineaux

Louis est issu de l’une des plus anciennes familles isséennes -  ses grands-parents sont arrivés vers 1885. Le père de Louis, né en 1894, fréquente l’école Anatole France entre les avenues Bourgain et Victor Cresson. Il va danser, avant 1914, avec la jeunesse dans les guinguettes de Suresnes en prenant les Bateaux Parisiens.

Louis (en haut) et son épouse (à sa droite) devant le restaurant, place des Tilleuls.
Coll. privée.

Louis évoque les petits jardins dans les douves du Fort, avant l’arrivée des Gardes mobiles, ainsi que plusieurs restaurants isséens, l’un à l’angle de la rue Hoche et de l’avenue de la République, un autre à l’angle de la rue Chénier et de l’avenue Cresson et, enfin, celui de la place des Tilleuls (ci-dessus) qui a fermé il y a quelques années au grand dam des riverains.  Et dont sa famille était propriétaire.

Louis devant la charrette du livreur de la brasserie
Barial, à Meudon Bellevue. Coll. privée.
Il n’oublie pas non plus les commerces rue du Général Leclerc en face de l’Hôtel de Ville. Près du café des Colonnes, le marchand de fromages, l’épicerie À la Grâce de Dieu qui livrait avec une voiture à cheval, une charcuterie à l’angle. En traversant l’avenue Jean-Jaurès, on trouvait un café (remplacé par une banque), une charcuterie bretonne. La librairie Bertrand occupait l’intersection des rues Gervais et Chénier ; on y vendait des cartes postales sur la commune ; elle fut remplacée par un fleuriste puis une banque. 

Il y avait également des usines : Waterman (devenue Durand) rue Barbès (Gabriel Péri) ou rue Renan,  Javel-La Croix dont la voiture de livraison était tirée par deux puissants chevaux ardennais. La tréfilerie Bohin à l’angle du boulevard Gallieni et de la rue du Gouverneur Général Éboué fabriquait des aiguilles et des épingles, appréciées des couturières. Non loin, H B (pour Henri Bulot) fabriquait des tuyauteries pour l’aviation et le chemin de fer. Rappelons que Henri Bulot est l’inventeur des colliers qui portent son nom. Ses ouvriers logeaient dans des chalets en bois tout proches. À la même époque, des blanchisseuses transportaient le linge à laver dans les lavoirs du boulevard du Lycée. 

Barricade à l'angle de la rue du Fort et de l'avenue Gabriel Péri,
le 24 août 1944. Coll. privée.
Et puis, Louis se souvient de la Libération en août 1944 (ci-dessus), des revolvers, des fusils et des grenades allemandes à manche, transportés par des résistants de l’Hôtel de Ville à l’usine Bohin dont le directeur, chimiste, préparait des coktails Molotov.  [Ghislaine, elle aussi, raconta - et en photos - cette période de l'histoire d'Issy, voir Témoignages].


Place des Tilleuls au début du XXe. Les arbres ont grandi. Les maisons sont toujours là. Mais le restaurant a fermé.

Les souvenirs s'accélèrent. Louis raconte le cinéma en plein air place des Tilleuls ou les cinémas disparus comme le Mignon Palace, place Paul Vailant-Couturier, fréquenté par les personnes logées aux Petits-Ménages (hôpital Corentin Celton), le Casino au début de l’avenue Victor Cresson,  l’Alhambra, avenue Jean Jaurès. Dans cette belle salle avec des loges, il y avait d’abord les incontournables Actualités précédant un grand film ; à l’entracte, les hommes allaient prendre un pot au bar du cinéma ou café proche Aux Colonnes (toujours dans un bel immeuble des années Trente). En seconde partie était projeté un second grand film.
Autre grand moment festif : la course de côte à vélo avec le départ en bas de la rue Auguste Gervais et l’arrivée place des Tilleuls. Il y avait des épreuves éliminatoires entre les trois à quatre coureurs qui s’élançaient en même temps avant la course finale. Pascale Maestracci

15 novembre 2012

Viola Pomposa en concert à Issy-les-Moulineaux

Viola pomposa : à la fois un instrument ancien à cinq cordes, d'une longueur de 80 cm environ et se tenant à l'épaule comme un violon, et un groupe isséen de musique baroque qui donne de nombreux concerts en Ile-de-France et en province.




Si vous ne les connaissez pas encore, rendez-vous samedi 17 novembre à 20 heures, à l'église Saint-Benoît , 35 rue Séverine, à Issy (entrée libre).

Et jetez un coup d'oeil sur leur site :
http://le-trio-pomposa.asso-web.com/49+la-viola-pomposa.html

12 novembre 2012

11 novembre : des enfants au cimetière d'Issy-les-Moulineaux


Quelle heureuse initiative du Souvenir français, relayée par notre association Historim toujours soucieuse de faire connaître l'histoire de notre ville : raconter à des enfants des classes de CM2 de l'École élémentaire Anatole France quelques faits marquants de la Première Guerre mondiale, à travers les destinées toutes particulières de soldats enterrés dans le cimetière communal.

Frédéric Rignault, du Souvenir français, et les enfants devant le carré
militaire, fleuri pour le 11 novembre. © A. Bétry

Le Monument aux soldats morts pour la France
1871, 1914-18, 1939-45, l'Indochine et
Afrique du Nord. © A. Bétry

Au lendemain du 11 novembre, jour de l'armistice, les jeunes se sont pressées dans les allées brumeuses du carré militaire autour de leur professeur, du responsable local du Souvenir français, Frédéric Rignault, de membres d'Historim et de Thierry Gondolfo, le conservateur du cimetière. Il connaît tout de ses pensionnaires - des soldats de toutes nationalités décédés souvent des suites de leurs blessures dans l'hôpital militaire de l'école Saint-Nicolas.

Après une présentation de l’Europe de 1914 et les causes de la guerre, ont été exposées les destinées d’un officier d’infanterie, d’une infirmière militaire (et plus généralement de la place des femmes dans un monde en guerre), des travailleurs coloniaux (malgaches, indochinois, africains), d’un pilote, d’un soldat russe, d’un Alsacien-Lorrain, et d’un zouave !

Espérons que nous pourrons renouveler cette expérience l'an prochain. Une façon de transmettre aux jeunes générations la mémoire des anciens. PCB

10 novembre 2012, devant le Monument aux morts, square Bonaventure Leca : à gauche Michel Raineri,
chef du Protocole, au centre Frédéric Rignault, à droite le capitaine de frégate
Philippe Dengreville, commandant du navire l' Andromène. © A. Bétry.

10 novembre 2012

Louis-Alexandre Berthier, un maréchal d'Empire de passage à Issy

En tenue de grand-veneur. Toile de
Jacques-Augustin Catherine Pajou (1808)
Et oui, ce maréchal d'Empire (1753-1815) acquiert en 1803 (21 Prairial an XI) une résidence, l'ancienne Ferme des Chartreux - dont Historim vous a déjà parlé (rubrique les Quartiers). Il s'agissait d'un domaine appartenant à un certain Havelin : des terres cultivées, vergers, vignobles et potagers, que Louis-Alexandre Berthier va faire prospérer, en en confiant la gestion à son régisseur, M. Banet. Il ne reste rien de cette propriété, juste le nom d'un quartier : la Ferme.

Louis-Alexandre est de toutes les campagnes napoléoniennes :  en Italie (1796), en tant que chef d'état-major ; en Egypte pendant les années (1798) ; à Marengo (1800). Il participe au coup d'Etat du 18 Brumaire (9 novembre 1799) qui propulse Napoléon sur le terrain politique et devient alors le ministre de la Guerre du Premier consul (1802-1804). Nommé maréchal et grand-veneur en 1804, couvert d'honneurs, on le retrouve sur tous les champs de bataille, comme major général de l'armée : Austerlitz (1805), Iéna (1806),  Wagram (1809). Il suit Napoléon en Russie (1812), tente de le convaincre de rebrousser chemin - sans succès - et  donne alors sa démission. Blessé au combat de Brienne (1814). 

Ph. D. Timmermans
Après les Cent Jours, il suit l'Empereur, puis peu avant la bataille de Waterloo (1815), il gagne son château de Bamberg en Bavière, d'où il tombe d'une fenêtre du 3e étage et se tue le 1er juin 1815.
Une plaque scellée dans le mur de l'édifice rappelle cette stupide mort (à gauche).





Autant dire qu'il a peu vécu à Issy-les-Moulineaux ! Alors, pour le faire revivre, l'historien Jacques Jourquin, vice-président de l'Institut Napoléon, auteur de nombreux ouvrages sur l'Empire, sera présent au Musée français de la carte à jouer, 16 rue Auguste Gervais, le jeudi 15 novembre à 18h30. Entrée libre. PCB

7 novembre 2012

Réclames d'antan - A la ville d'Issy

Continuons notre périple nostalgique dans les rues de la ville. Pour les nouveaux venus, reportez-vous dans la rubrique Les quartiers.
La réclame peinte sur le mur-pignon du 11 bis rue Renan est encore relativement lisible :

« A LA VILLE D’ISSY, VÊTEMENTS, Tout Faits & Sur Mesure, 
HOMMES JEUNES G [ renfoncement] ANTS ». 



Ce vaste magasin se trouvait 42 de la rue Renan, au rez-de-chaussée d’un immeuble de part et d’autre de la porte d’entrée. Celle-ci est surmontée d’un linteau orné d’un fixé sous-verre, portant le nom de Mayer,  Henri, maire d'Issy-les-Moulineaux, à deux reprises de 1894 à 1903 et de 1908 à 191. Ce magasin succéda à celui dont l’enseigne existe toujours : c’est la Tour Eiffel (voir  Nez en l’air). L’emplacement est bien choisi au carrefour des boulevards Voltaire, Galliéni, rue Renan et proche de l’ancienne mairie, place Vaillant-Couturier. Dans un cadre rétro, la boutique était consacrée à la mode masculine de qualité (référence au sur-mesure) mais également aux vêtements de sport. Elle reste ouverte jusqu’au début des années 1970. Ensuite, l’espace commercial est scindé en deux magasins distincts. Le premier, un temps boutique de Papiers peints puis de Décoration, est devenu de nos jours un établissement financier. Le second, d’une superficie plus modeste, est réservé à la mode féminine.

Une partie notable de ces informations m’a été fournie par mon amie Hélène que je remercie chaleureusement ici. Texte et photographie P. Maestracci .

6 novembre 2012

L'appel de l'évasion - Réponse

Ph. P. Maestracci

Cette sculpture-signal se trouve sur une pile du pont de Billancourt, à la limite de Boulogne-Billancourt et d'Issy-les-Moulineaux. Érigée en 1994, elle est en acier inoxydable et composée en fonction de l'écriture architecturale de la pile du nouveau pont de Billancourt qui s'avance dans la Seine comme la proue d'un drakkar. Elle évoque par ses voilures la nef qui figure sur les armoiries de Boulogne-Billancourt et la devise d'Issy-les-Moulineaux : "Habeo semper alas" (J'ai toujours des ailes).
Par sa géométrie dynamique elle est une référence au passé industriel des deux communes voisines, berceaux de l'automobile et de l'aéronautique et un symbole du département des Hauts de Seine, lieu de technologie de pointe et de techniques avancées de la communication.

Intitulée "Voilures", haute de 18 mètres, la sculpture-signal est l'œuvre de l'architecte D. Badani et du sculpteur Pierre Sabatier (1925-2003) dont elle est l'une des plus emblématiques en espace public. Nicole Rousset

3 novembre 2012

Auguste Lepère peint Issy-les-Moulineaux

Peu connu du grand public, Auguste Lepère (1849-1918) est surtout célèbre pour ses talents de graveur. Il travaille pour les grands journaux de l'époque : le Monde illustré, l'Illustration, le Magasin pittoresque. Il crée la revue l'Estampe originale pour lutter contre les techniques nouvelles, qu'il refuse.
Peintre, aquarelliste et pastelliste, à l'origine du groupe dit de Saint-Jean-de-Monts, il s'est beaucoup attaché à faire découvrir la banlieue parisienne, ses bords de Seine, ses guinguettes.

Et Issy-les-Moulineaux avec cette huile sur toile (ci-dessous), qui date de 1909, conservée au musée départemental de l'Oise, à Beauvais.

Issy-les-Moulineaux, vue de la Seine en 1901.
© RMN/Grand Palais/ R.G. Ojéda.

Et cette gravure sur bois, que détient le Cleveland Museum of Art, aux États-Unis (ci-dessous).

Étangs d'Issy-les-Moulineaux © XDR

Si vous voulez découvrir cet artiste, pas besoin d'aller si loin : rendez-vous au musée de l'Ile-de-France, petit Château du Domaine de Sceau, où sont exposées pas moins de soixante-trois œuvres jusqu'au 16 décembre 2012. PCB
Pour en savoir plus :
http://domaine-de-sceaux.hauts-de-seine.net/les-expositions/les-expositions-en-cours/de-paris-a-barbizon/#c1215

1 novembre 2012

L'appel de l'évasion - Jeu

Des voiles ? De l'eau ? Des ailes ? Des reflets mystérieux ?


Ph. P. Maestracci
Où se trouve cette sculpture et que signifie-t-elle ?
Réponse la semaine prochaine…